lundi 2 mai 2011

23/1/11 Union réalisatrice entre un homme et une ville: Clint Eastwood et Carmel.


Dans notre montée vers San Francisco nous passerons par Carmel, petite cité, au bord de l'Océan, à environ 100 km au Sud de San Francisco.
Le maire de cette citée encore plus élégante que Santa Barbara, pendant deux mandats, fut Clint Eastwood.
Ville où aucun feu rouge n'existe: exigence de respect et d'attention à l'autre
Ville où tous les panneaux publicitaires et néons sont bannis. Pas d'agressions visuelles. Seuls les arbres ont le droit de s'épanouir: il est d'ailleurs interdit de les couper quelque soit l'endroit où ils poussent
Ville où le développement est encadré: Clint Eastwood allant jusqu'à racheter des propriétés sur des sites imprenables, il ne voulait pas que l'on puisse changer ces endroits.
Ville où sont interdites ces boites aux lettres souvent laides devant les maisons. 
Au delà de son activité d'artiste ou d'ailleurs de quelqu'autre activité s'engager pour la communauté est un  mot clef : et surtout aux US l'on n'est pas cloisonné dans un rôle ou un métier ou une fonction.
Nous y croiserons d'ailleurs, Dominique, française du Pas Basque. Avec son mari et dans cette antre de millionnaires ils ont ouvert deux magasins l'un d'antiquités et l'autre de linge de maison:  l'un s'appelle "Jan de Luz".


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