lundi 2 mai 2011

11/1/11 Passage par Sedona... descente vers Pheonix... par Prescott



Retour à Sedona avec, de notre chambre,  vue sur "Thunder Mountain". 

Une soirée à Sedona où nous avions été invités à une Party, un "potluck". Chacun vient avec un plat, souvent celui qu'il sait le mieux préparer. Potluck, ce pot qui cuisait dans la cuisine, dont on ouvrait le couvercle et "chance" une surprise, souvent une merveille. Surtout l'occasion d'un échange très convivial et très réel, sans barrière, chacun portant sur sa poitrine, son prénom.  Une tradition que nous importerons à Dangy.

Départ vers Phoenix, par Prescott.  Je voulais surtout avec Lucie, partager une salade dans ce saloon de Prescott, ouvert en 1868. Malgré le fait qu’il ait brûlé dans des incendies, il  existe toujours cette ambiance autour de ce meuble bar des origines.



Ce fut aussi l'occasion de l'histoire revisitée.
A côté de nous, ce personnage en tenue de « sudiste ». 

Il m’explique qu’il fait parti d’un groupe qui veut réellement réhabiliter ou transmettre la réelle histoire de la guerre de Sécession. Il fait parti d’une association de ceux qui veulent défendre l’honneur des «Sudistes ». Cette guerre n’avait rien à voir avec l’esclavage, prétexte et paravent, d’autant que c’était les états du Nord qui faisaient le commerce des esclaves et qui les importaient d’Afrique par La Rochelle et Bordeaux. La guerre de Sécession était en fait une guerre, comme toujours (?) de pouvoir et d’argent. Les états du Nord voulaient absolument le monopole du coton, du tabac et autres denrées récoltées dans le Sud ; alors que les états du Sud voulaient commercer en direct avec l’Europe. Alors les états du Nord arraisonnaient les bateaux et les taxaient. D’où la révolte de la Caroline du Nord qui a décidé de sortir de l’Union.  C’est alors qu’Abraham Lincoln a monté le coup de cette guerre pour sauver l’Union. L’histoire présente vraiment toujours de nombreuses variantes : il est instructif d’écouter les « perdants des guerres ».  Je l’ai déjà remarqué pour l’Alsace, l’histoire que l’on enseigne est toujours celle du «gagnant ». Mais c’est souvent le pauvre gars pour des nobles ou des riches qui se fait massacrer.  Les New Yorkais, engagés de force dans l’armée n’appréciaient pas Lincoln, ils le brulaient déjà en effigie à cette époque....

2 commentaires:

  1. Bonjour à vous, ici tout va bien, deuxième semaine de redoux avec des pointes à 12 degrés... j'ai même des arbustes qui bourgeonnent... ça va faire mal quand le gèle va passer.

    J'ai vu un bon film (in the air), et de moins bons. Je dis ça vous vous approchez d'Hollywood.

    Pour ceux que ça intéresse Côme a fait la java de 2 à 6 heures du matin, je ne pense pas qu'il soit malade, mais on a pas d'explications.

    Bises (Côme aussi il fait des bisous)

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  2. nous nous préparons à aller à Los Angeles et Hollywood... dans 2 ou 3 jours..; en attendant nous profitons de ce lieu de villégiature pour millionnaires et milliardaires.
    bises à tous
    Pour Cosme, Lucie me disait que toi aussi tu faisais parfois la java la nuit..elle a découvert que tu avais faim et le soir, elle a épaississait ta "pitance"... à voir!!!

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